Des banqiers menteurs

03-07-2016 à 13:39:36
Je voulais épargner de l'argent, mais compte tenu des taux négatifs des banques, nos comptes épargnes nous rapportent plus rien. vous pouvez vérifier mes dires en consultant certains sites : comme celui de Pierre Jovanovic, égalitéetréconciliation, tvliberté, etc... J'ai donc cherché d'autres moyens sans passer par les banques et avec des amis nous avons trouver une entreprise de recyclage de plastique qui fonctionne avec le financement participatif. pour ceux qui ne connaissent pas, je place mes économies sur Recyclix et cela me rapporte 14%. Une amie place une somme et attend les 5 semaines pour faire une retrait sur le bénéfice, voir ci la boite est sérieuse. Le banquier qui voulait lui vendre des actions n'a pas apprécié qu'elle investisse ailleurs et comme elle n'a pas internet c'était facile de mentir en disant qu'il n'avait pas eu de dépôt sur son compte, alors que l'argent était virer en 24 h. heureusement pour elle, mon amie m'a fait confiance. Maintenant elle a un placement qui rapporte vraiment.
31-10-2017 à 09:56:20
Les banques abusent de leurs clients en difficulté. C’est la conclusion sans appel de la nouvelle enquête de l’association 60 Millions de consommateurs qui relève que les personnes en difficulté financière se voient imputer des frais bancaires neuf fois supérieurs à ce qu’ils sont pour un client sans difficulté. « Les consommateurs en difficulté financière persistante se voient prélever 296 euros de frais par an contre huit à neuf fois moins - 34 euros - pour les clients lambda en moyenne », assure l'association dans le cadre d'une étude effectuée avec l'Union nationale des associations familiales (Unaf).
Pour établir cette comparaison, l’association s’est basée sur un panel de près de 400 lecteurs d’un côté, et, de l'autre, sur plus de 200 foyers auprès desquels intervient l'Unaf pour des situations de fragilité financière.
« Les plus fragiles ne sont cependant pas les plus punis. Ceux qui touchent 1 000 € par mois versent, en moyenne, 154 € (par an), alors que ceux qui gagnent en moyenne 2 000 € par mois, salariés du public comme du privé ou retraités, sont prélevés de 352 € (par an) », ont calculé 60 millions et l’Unaf.
Agios, frais de rejet, de courrier...
Aux agios facturés pour un découvert, une souplesse de trésorerie très utilisée des Français, s’ajoutent des commissions d’intervention, des frais de rejet, des frais pour envoi d’une lettre informant que le compte est débiteur. Chaque fois, le compteur de frais tourne. Et de manière automatique dans la majorité des cas, ce qui n’est pas légal, affirme l’enquête. « Lorsqu’un paiement se présente sur un compte dont le découvert va être dépassé, la banque l’honore en général, car elle y gagne gros, note l’association : elle prélève des agios proches de l’usure, et surtout une commission d’intervention de 8 €, le maximum légal, censée rémunérer l’analyse de la situation par le conseiller ». Or bien peu de conseillers examinent le bien-fondé d’une intervention. Selon une enquête du syndicat CGT Banque Assurance, que 60 Millions publie en exclusivité dans son numéro de novembre, 54 % des conseillers affirment ne pas intervenir eux-mêmes. C’est l’ordinateur qui propose la tarification, ce que le conseiller fait la plupart du temps, en partie pour éviter d’avoir à justifier son refus.
30 à 35% du chiffre d’affaires des banques
L’association relève aussi que les banques, à l’exception de la Banque Postale et de quelques banques en ligne, appliquent toutes le maximum légal pour la facturation de leurs frais, ce qui annihile la possibilité de faire jouer la concurrence.
Pendant ce temps, les banques, elles, gagnent beaucoup d’argent : l’ensemble des frais liés aux incidents de fonctionnement représenteraient 30 à 35% du chiffre d’affaires des banques de détail, soit 6,5 milliards d’euros chaque année.