APPLICATIONS
Facteur I
Comme dans toute approche d’un système social, la stabilité est obtenue par la compréhension et la prise en compte de la nature humaine (permettant de définir les modèles d’action et de réaction). L’impossibilité de cette prise en compte peut être, et est généralement désastreuse.
Comme dans tous les autres schémas sociaux humains, une forme ou une autre d’intimidation (ou d’incitation) est essentielle pour la réussite d’un service de conscription. Les principes physiques d’action et de réaction doivent être appliqués à la fois aux sous-systèmes internes et externes.
Afin de sécuriser le service de conscription, on doit occuper l’attention et mettre sous contrôle le jeune préalablement conditionné et programmé, et à la fois l’unité familiale et le groupe de ceux qui sont dans la même situation.
Facteur II : Le Père
Dans un ménage, l’homme doit être comme un animal bien propre et bien brossé afin d’assurer que le jeune grandira en acquérant un entraînement et des attitudes sociales justes. Les médias, la publicité, etc.. ont pour vocation de s’assurer que le futur père sera bien soumis à son épouse d’ici à ce qu’il soit marié. On lui apprend que soit il se conforme au moule social qui lui a été préparé, soit sa vie sexuelle sera entravée et la tendre compagnie sera réduite à zéro. On lui apprend à voir que les femmes demandent plus de sécurité que de raison, et qu’elles demandent à ce que le comportement de l’homme soit honorable et édicté par des principes.
D’ici à ce que son fils parte à la guerre, le père (les jambes en coton) fourra lui-même un fusil dans les mains de son enfant avant que lui-même ne soit critiqué par ses semblables ou qu’il ne se sente être lui-même hypocrite en étant en contradiction avec son opinion personnelle ou l’estime qu’il a de lui-même. Ainsi, le jeune ira à la guerre sans résistance, ce qui est le véritable but.
Facteur III :La Mère
L’élément féminin dans la société humaine est soumis en premier à l’émotion, et en second à la logique. Dans la bataille que se livrent la logique et l’imagination, c’est toujours l’imagination qui gagne et la fantaisie qui prévaut; l’instinct maternel domine de manière à ce que l’enfant vienne en premier et le souci de l’avenir en second. Une femme est trop omnibulée par son bébé nouveau né pour voir qu’il deviendra de la chaire à canon ou de la main d’œuvre esclave à bon marché. Une femme doit cependant être conditionnée à accepter la transition vers la “ réalité ” lorsqu’elle advient, tôt ou tard.
Dès que cette transition devient plus difficile à gérer, la cellule familiale doit être soigneusement désintégrée et l’on doit généraliser et imposer légalement la mise en place de l’éducation publique contrôlée par l’état, ainsi que les centres d’assistance publique sous la responsabilité de l’état ; tout ceci afin de préparer le jeune enfant à se détacher de son père et de sa mère à un âge de plus en plus précoce. La prise de drogue comportementale peut accélérer cette transition pour l’enfant. ATTENTION : la colère impulsive d’une femme peut surmonter sa peur. Le pouvoir d’une femme furieuse ne doit jamais être sous-estimé ainsi que le pouvoir qu’elle a sur son mari totalement soumis ne doit jamais être sous-estimé non plus. Les femmes ont obtenu le droit de vote en 1920.
Facteur IV : Le Jeune
La pression émotionnelle due à l’instinct de préservation pendant le temps de guerre et l’intérêt personnel manifesté par ceux des gens du peuple qui ont la possibilité d’éviter le champ de bataille, sont les deux ingrédients finalement nécessaires pour envoyer notre jeune à la guerre. Il est soumis, par cette foule, à un chantage silencieux sous la forme des menaces suivantes : “ pas de sacrifice, pas d’amis ; pas de gloire, pas de petites amies ”.
Facteur V : La Sœur
Et qu’en est-il au sujet de la sœur de notre jeune homme ? Son père doit lui fournir toutes les bonnes choses que la vie peut procurer et lui apprendre à attendre les mêmes choses de son futur mari sans se préoccuper du coût.
Facteur VI : Le Bétail
Ceux qui n’utilisent pas leur cerveau ne valent pas mieux que ceux qui n’ont pas de cerveau, et ainsi, ce groupe stupide de méduse, père, mère, fils, fille devient bête de somme très utile ou entraîneur de bête de somme.