Attentat à Marseille, je pensais que la gare avait explosé, ben non juste une attaque au couteau comme on a l’habitude à Marseille, pourquoi aujourd’hui se serait un attentat.
Ce qu’il y a de bizarre dans cette affaire c’est qu’on a pas retrouver la carte d’identité, ensuite la première victime était une femme de Lyon et l’assassin venait de Lyon, a première vue je dirais que c’est une histoire de cul avant de dire que c’est un attentat, c’est vrais qu’il était pas Français donc c’est obliger que ce soit un terroriste, si c’était un Français il y aurais 5 minutes à BFM et on en parlerais plus comme cela s’est passé il y a quelques jours, pas d’amalgame SVP, 200 policier sur place pour protéger ceux qui sont déjà décédés alors qu’ils n’y a jamais personnes pour ce déplacer quand une Marseillaise et agressé et demande de l’aide.
Sinon la routine, daesh revendique, l’assassin était connut des services de police, il était en situation irrégulière et sortait de garde à vue, les politiques sont indignés et bien sûr se crime tombe à point puisque l’état était justement en train de chercher comment continuer l’état d’urgence qui devait se terminer le mois dernier, c’est bon c’est repartit pour un mois.
L’assassin a été abattu par un militaire, félicitation a se héros qui a préférer sauver des vies plutôt que d’écouter le gouvernement qui leurs dit de ne pas se servir de leurs armes, et on sait au moins qu’ils ont des munitions, on avait des doutes.
Et bien sur les grandes gueules :
«Pour moi, c'est un attentat", a déclaré le maire Jean-Claude Gaudin, présent à côté du ministre de l’Intérieur, Emmanuel Macron et Édouard Philippe ont rapidement fait part de leur émotion. "Profondément indigné par cet acte barbare, en peine avec les familles et les proches des victimes de Marseille", à tweeté le président de la République. Le président de la région Paca Renaud Muselier a déploré "un acte barbare". "Marseille pleure avec ses pauvres victimes. L'assassin aussi répugnant que ses motifs", a écrit le député de Marseille et chef de file de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon. Marine Le Pen a quant à elle dénoncé "le terrorisme", qui est "un acte de guerre contre notre pays". "La vraie liberté, c'est la sécurité", a tweeté la sénatrice PS des quartiers nord Samia Ghali, faisant le lien avec le projet de lois antit-terroristes
Et pendant ce temps on continus à mourir…
